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John : J’suis mort.
Hans : On joue toujours les cowboys, monsieur McClane ? Les Américains sont incroyables, mais cette fois John Wayne ne s’éloignera pas dans le soleil couchant avec Grace Kelly.
John : C’est Garry Cooper connard…
Hans : Assez plaisanté.
John : Je sais pas qui fait le plus cowboy de nous deux Hans.
Hans : Ouais… Mais qu’est ce que vous m’avez dit la dernière fois ? Yippee Kay pauvre con.
John : Holly ! Et bon voyage Hans.

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Wall-E + Eve = <3

juin 30, 2010 Author: admin | Filed under: Animation, aventure


Eve : Plante ! Wall-E ?
Wall-E : Eve !
Eve : Wall-E !
Hôtesse : Vitesse de croisière, vous pouvez rallumer vos appareils électroniques. Autodestruction dans vingt secondes. Autodestruction dans dix secondes. Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux.
Eve : Non ! Non ! Wall-E ! Wall-E !
Wall-E : Hey ! Eve !
Eve : Wall-E
Grosse Femme : Il y a de ces étoiles ! Oh ! Mais c’est, comment il s’appelle ?
John : Hey ! Doucement !
Grosse Femme : Regardez ! Regardez là bas !
John : Oui ! Je le connais c’est lui ! Wall-E ! C’est lui ! Hey Wall-E ! C’est moi ton copain John ! Salut.
Grosse Femme : Salut.
Commandant : Définir, « bal populaire ».
Ordinateur de bord : Bal populaire : rassemblement de gens qui dansent en plein air.
Commandant : Otto, la Terre est une planète étonnante, on y trouve ce que l’on appelle des fermes ! Les humains sèment des graines dans le sol puis les arrosent régulièrement et ça donne de la nourriture ! Comme des pizzas !
Otto : Bonne nuit commandant…
Commandant : Pssst, ordinateur ! Définir « danse ».
Ordinateur : Danse : enchainement de mouvement harmonieux rythmé par la musique impliquant généralement deux partenaires.
Wall-E : Eve…
Eve : Wall-E…

Image, texte, vidéo etc :    © Walt Disney Pictures   Tous droits réservés.


Duke : Je veux que tu comprenne : Le monsieur au volant,  c’est mon avocat, et non une pauvre épave ramassée dans un bouge. Hein ? C’est un étranger. Il est probablement Polynésien. C’est pas gênant j’espère ? T’es pas raciste ?
L’autostoppeur : Oh que non !
Duke : Je me disais aussi… Parce qu’en dépit de sa race, cet homme est extrêmement valable à mes yeux. Oh merde, j’avais oublié la bière, tu en veux ?
L’autostoppeur : Non.
Duke : Un petit peu d’éther ?
L’autostoppeur : Quoi ?
Duke : Oh laisse tomber !

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Narrateur : Le temps n’a rien changé, Amélie continue à se réfugier dans la solitude. Elle prend plaisir à se poser des questions idiotes sur le monde ou sur cette ville qui s’étend là sous ses yeux. Combien de couples par exemple sont-ils en train d’avoir un orgasme à cet instant précis.
Amélie : Quinze.

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Apocalypse Now : La Chevauchée Des Walkyries

juin 27, 2010 Author: admin | Filed under: Drame, guerre


Junior : Oh merde ! Ils soulèvent notre bateau !
Colonel Kilgore : Comment tu te sens Jimmy ?
Jimmy : Très bien mon colonel un vrai tueur !
Colonel Kilgore : Vas-y fiston sonne la charge ! Je me suis jamais habitué aux planches légères. Il y a rien à faire, j’y arrive pas moi je les aime lourdes.
Jimmy : Ouais je suis d’accord, c’est chiant.
Colonel Kilgore : Et toi tu te sers d’une planche légère ou c’est les lourdes que t’aimes mieux ?
Jimmy : Les lourdes.
Colonel Kilgore : C’est vrai ?
Jimmy : Ah ouais !
Colonel Kilgore : Mais on dit que les jeunes choisissent les moins lourdes.
Jimmy : Ah non elles sont nulles pour le nose riding.
Soldat : Grand Duc 6, Grand Duc 6 ! Aigle en Vol 7 on les a en visuel.
Colonel Kilgore : De Grand Duc 6 à Aigle en Vol 7, formation de combat 4270.
Soldat : Bien reçu Grand Duc. Ca va pas tarder à chauffer.
Colonel Kilgore : Hey !
Jimmy : Qu’est ce qu’il y a ?
Colonel Kilgore : On descend pour s’amener dans le soleil levant. A un kilomètre de l’objectif on balancera la musique.
Jimmy : La musique ?
Colonel Kilgore : Oui moi j’utilise Wagner. Ils en claquent des dents les bridés. Et mes ptits gars adorent ça !
Jimmy : Hey, ils vont mettre de la musique !
Phillips : Hey, pourquoi vous vous asseyez sur votre casque les mecs ?
Soldat : Je tiens à mes couilles moi face d’œuf !
Colonel Kilgore : Aigle en vol de Grand Duc 6, guerre psychologique plein volume, manettes à fond. Roméo fox trot, ouvrez le bal ! C’est parti !

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La Haine – Vincent Cassel (Vince) : Une petite ligne de coke ?

juin 23, 2010 Author: admin | Filed under: Drame

Saïd : Peut-être qu’il a gagné au loto, il l’a dit à personne ! Oh, merde putain c’est fermé !
Hubert : Alors et maintenant c’est quoi son vrai nom ?
Saïd :Je sais pas putain je connais que Astérix comme nom moi…
Hubert : Astérix…
Saïd : Euh, ouai nique sa mère…
Mr Vicq : Oui bonjour ?
Saïd : Euh bonjour, excusez moi de vous déranger, euh, est-ce que je suis bien chez euh, Astérix ?
Mr Vicq : Astérix ? Vous vous foutez de ma gueule ?
Saïd : Ouais je sais, ça peut paraïtre un peu bizarre mais euh… Oh l’enculé il vient de raccrocher ! Vas-y vas-y viens essaye toi. Vas-y essaye, essaye.
Hubert : Vas-y vas-y vas-y.
Saïd : Vas-y essaye, la noiraude et moi on va se faire tirer dessus, vas-y.
Vince : Euh, bonjour, Astérix il est là ?
Dame intephone : Bonjour. Astérix ? Et pourquoi pas Obélix pendant que vous y êtes ?
Vince : Et attend, attend, qu’est ce qu’y a qu’est ce qu’y a qu’est ce qu’y a ?
Saïd : Arrête arrêtes, Vince mais arrêtes !
Vince : L’enculée !
Saïd : Putain t’es vraiment relou !
Concierge : Oh là, arrêtez !
Saïd : Bonjour madame, excusez nous de vous déranger, on cherche un ami à nous qui s’appelle Astérix qui habite ici. On connait pas son nom de famille ni son prénom.
Concierge : Non mais enfin vous êtes fous de sonner comme ça ! Vous croyez que le monde il est à vous ?
Hubert : C’est pas vrai, c’est pas vrai, c’est pas vrai !
Saïd : Vas-y vas-y appelle la police
Vince : Quoi ? C’est toi Astérix ou pas ? Bah vas-y alors ouvre !
Saïd : Astérix ?
Astérix : Saïd ?
Saïd : Ouais, c’est quel étage ?
Astérix : Cinquième.
Saïd : Ok vas-y ouvre ! Read the rest of this entry »

Alladin – Rencontre avec le Génie.

juin 22, 2010 Author: admin | Filed under: Dessin animé


Abu : Lève toi !
Alladin : Oh ! Ma tête ! On est pris au piège ! Oh le traitre ! Le fils de chacal ! Qui que ce soit, il a disparu avec cette lampe… Hey ! Petit voleur et malin comme un singe ! Ca ne vaut pas un clou, personne ne voudrait de cette camelote… Il y a quelque chose d’écrit ici, mais, c’est, euh, c’est pas facile à déchiffrer.
Génie : Aïe ! Dix millénaires, ça vous flanque un de ces torticolis ! Accroches toi petit ! Wahou ! Bon sang que c’est bon de prendre un peu l’air ! Bonsoir à tous ravi de vous revoir très chers amis ! Euh, d’où tu viens, comment tu t’appelles ?
Alladin : Euh, euh, Alladin.
Génie : Alladin ! Salut Alladin, bienvenu dans notre émission ! On peut t’appeler Al ? Si tu veux jouer à quitte ou double, voilà déjà le kilt, et voilà, mon double !
Alladin : Hein ? Je me suis sûrement fait plus mal que je pensais…
Génie : Ca vous dérange pas si je fume ? Oh pardon Chettah, je t’ai pas carbonisé le crâne? Yo la carpette ! Je t’ai pas vu depuis des milles et des cents ! Sers moi donc le pompom ! Ouais ! Yo ! Yo ! Hey ! T’as moins de centimètres que mon dernier maître ! Oh, je dis ça ou alors je prend du poids. Euh, regardes moi de profil, est-ce que tu me trouves plus gros ?
Alladin : Arrête ! Arrête une minute. Je suis ton maître ?
Génie : Gagné ! Il apprend vite ! Je suis à ton service ! Je suis le roi de la gonflette, je sais me contenir, imiter mais pas limité. Et jamais reproduire ! Le génie de la lampe ! Me voici en direct de la lampe pour exhausser tous vos souhaits, on l’applaudit, à vous Simone, merci !
Alladin : Oh, attend, attend, attend. Tu exauces les souhaits ?
Génie : Trois pour être précis. Fais une croix dessus si t’espérais m’en demander plus ! Basta ! Trois, uno, dos, tres, ni repris ni échangés, ni remboursés.
Alladin : Là je sais que je suis en train de rêver !
Génie : Maître ! Je ne pense pas que tu ais vraiment pigé ce que j’ai à t’offrir ! Alors poses toi là, continu à ruminer, et laisse le génie de la lampe éclairer ta lanterne !
Si Ali Baba a 40 voleurs, Shéhérazade a mille histoires de coeur
Toi maître tu es encore bien plus fort
Car tu possèdes un truc qui vaut de l’or
Tu as le pouvoir ! Enfile tes gants,
Allume la mèche et tu seras gagnant !
Ça va faire boom ! Au feu ! Tout ce qui te chante
Tu peux l’avoir en frottant cette lampe.
Et je dis maître Aladdin très cher,
Je vous offre aujourd’hui, un dessert du tonnerre, un éclair,
Car je suis votre meilleur ami…
Je suis maître d’hôtel, au restaurant d’la vie !
Passez commande au creux d’mon oreille,
J’me coupe en 4 pour mes amis.
Seigneur nous sommes à votre service,
Ordonnez, Prince, Roi !
C’est un plaisir de vous servir, prenez un peu de baklavas !
Plat d’hiver, colonne A, fruits d’été, colonne B,
J’aimerais bien vous offrir de tout,
Car je suis votre meilleur ami.
Oh oui ! Non, non !
Je suis un génie, chanteur magicien,
Mon tour favori,
C’est l’coup du lapin !
Je sais même faire bouh !
Tu vois ce que je vois ?
Et quand je dis abracadabra on s’éclate
Et tu disparaîtras par magie !
Remonte ta mâchoire, t’as l’oeil hagard,
J’ai le pouvoir d’exaucer tes prières.
C’est garanti, diplômé, certifié,
Tu as un génie comme chargé d’affaires !
Je te soutiendrai, je t’appuierai,
Quel est ton voeu, dis-moi quel est ton souhait ?
T’as déjà fait ta liste ok banco!
Frotte-toi les mains moi je me frotte le dos ! Eh oh !
Maître Aladdin Seigneur, fais un voeu ou deux j’te prie…
Tu me diras, toi, gros Nabab,
Hey, oui c’est ton Génie, je suis ton ami, Oh oui !
Je suis ton ami, je suis ton ami, mais oui !
Je suis! Ton meilleur! Ami !
Je suis ton meilleur ami !
Alors ce sera quoi Maître ?
Alladin : C’est sérieux ? J’ai droit à trois souhaits, et je peux te demander n’importe quoi ?
Génie : Quasiment, il y a, et bien il y a un ou deux « alter ego », deux ou trois « sine qua non »…
Alladin : C’est-à-dire ?
Génie : Euh, règle numéro un : je ne peux assassiner personne. Laisse tomber. Règle numéro deux : je ne peux malheureusement pas obliger les gens à tomber amoureux, petit canaillou va ! Règle numéro trois : désolé, mais je ne ressuscite pas les morts. C’est un manque de savoir vivre. Je trouve ça dégoutant ! Mais à part ça, c’est du tout cuit.
Alladin : Sine qua non ? Tu veux dire : il y a des limites ? A des souhaits ? Tu parles pour un grand génie ! Il peut même pas ressusciter les morts… Ah ! Mon pauvre Abu, comment veux tu qu’il nous fasse sortir d’ici ! Il va falloir qu’on se débrouille tout seuls…
Génie : Euh, excuse moi, euh, dis donc, je suis là ou pas ? T’as bien frotté ma lampe, c’est toi qui m’as réveillé il me semble, c’est toi qui m’as fait venir. Et maintenant, tu veux me laisser tomber ? Mais il n’en est pas question, je regrette, j’y suis j’y reste ! T’as droit à tes trois souhaits alors exige ! Les issus de secours se trouvent ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, dans tous les coins ! Gardez les bras et les mains à l’intérieur du tapis, et c’est parti !

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Soza : Finissons de déjeuner.

Tony : Je dois vous tirer le chapeau Monsieur Soza. C’est vrai, vous avez tout ce qu’un homme peut rêver.

Soza : Je t’estime Tony. Toi tu es franc du collier. Mais malheureusement, je n’ai pas la même impression avec ton organisation.

Tony : Qu’est ce que vous voulez dire par là Monsieur Soza.

Soza : Et bien je te parle d’Omar Suarez. Ce fumier a été reconnu par mon associé au déjeuner. Il l’avait vu il y a quelques années à New York. Il travaillait pour la police comme indic. Par sa faute, Pito Duval et les frères Ramos, Lino et Chino : prison à vie. Alors qui me dit que tu n’es pas un chivato comme ton ancien ami ?

Tony : Hé, Soza, on va remttre les pendules à l’heure. J’ai jamais baisé un mec une seule fois dans ma vie, sauf si cette cave le méritait bien, tu notes ça ? Sur cette terre, moi je fais confiance qu’en mon manche et ma parole, elle, elle est ferme, l’autre est d’acier. Est-ce que c’est clair ? Cette petite merde qui se balance là haut, moi je l’aime pas, je lui ai jamais fait confiance. Et tout ce que je sais c’est qu’il m’a tendu un piège, qu’il a fait buter Angel Fernandez ce jour là. Mais ça c’est du passé. Je suis ici, lui non. Tu continus avec moi, tu le dis. Si c’est non, tu avances ton pion.

Soza : Je crois que tu me parles du fond du cœur Montana. Mais je me dis en moi-même, ce Lopez, ton patron, il avait plein d’autres chivatos comme lui à son service. Ils ne sont plus ses hommes. Alors justement, je me demande, combien d’autres bavures ce Lopez a faites ? On peut se fier à cette organisation ? A toi de me le dire.

Tony : Franck, c’est un malin. Tu sais, on peut pas lui en vouloir pour cette patate. Parce que c’est un drôle de business faut dire, pas vrai ? Ca, ça arriverait à tout le monde, même à toi, pas vrai ? Alors je vais voir Franck et je lui parle. J’arrange le coup. Je veille à ce que ça marche bien. Tu as ma parole là-dessus.

Soza : Je crois que toi et moi on peut arranger cette histoire, et qu’on fera longtemps des affaires tous les deux. Mais n’oublie pas, et je ne te le dirai pas deux fois : ne m’encule pas Tony. Conseil d’ami, ne m’encule pas.

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Stacey : Dani reste là ! Non Dany !

Bébé : Maman !

Derek : C’est con le nègre, t’es justement tombé sur le mauvais cheval !

Voleur : Arrête !

Derek : Viens là !

Voleur : Non !

Derek : T’aurais dû retenir la leçon que je t’ai donnée sur ce foutu terrain de basket ! Mais vous, pauvres enculés de singes, vous comprenez jamais rien !

Voleur : Arrête !

Derek : Mon père m’avait donné cette bagnole espèce de sale esclave ! T’as déjà buté un pompier ? Alors comme ça on débarque ici pour buter ma famille ? Tu vas comprendre ta douleur espèce d’enculé !

Voleur : Je suis pas venu pour…

Derek : Fous ta bouche sur le bord du trottoir !

Voleur : Pour ça mec !

Derek : Fous la sur le bord du trottoir tout de suite ! C’est ça…

Danny : Derek, non !

Voleur : Je t’en prie, non !

Derek : Maintenant dis bonsoir !

Voleur et Danny: Non !

Derek : Enculé !

Policier : Lâche ton arme, pose ton arme par terre tout de suite ! Les mains en l’air, j’ai dit les mains en l’air ! Maintenant tourne toi ! Mets tes mains derrière la tête ! Maintenant à genoux tout de suite !

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Sam : Un rendez vous au milieu du désert ça m’a toujours rendu nerveux, c’est sinistre. J’suis au courant des trous dans le désert évidemment et partout où je regardais il aurait pu y avoir un trou.
En temps normal mes chances de revenir vivant d’un rendez-vous avec Nicky étaient de 99 sur 100. Mais cette fois quand je l’ai entendu dire « 100 mètres plus loin sur la route », je me suis donné fifty-fifty.

Nicky : Tu te sens plus de bavasser sur moi devant les gens derrière mon dos en passant par dessus ma tête ?

Sam : Quels gens ?

Nicky : Quels gens ? Qu’est ce que tu croyais que je le saurais pas ?

Sam : Je sais même pas de quoi tu parles.

Nicky : Ah non ?

Sam : Non.

Nicky : Tu lâches que je met les chiens à tes trousses. Je dois entendre ces merdes parce que toi tu fais dans ton froc. Toi tu me flanques dehors ? J’espère que t’as une arme derrière toi mon pote.

Sam : Mais j’ai rien fait je vais pas te flanquer dehors je donne pas d’ordre. J’ai dit à Andy que les cognes te collaient au train et que ca posait problème.

Nicky : Tu veux que je me casse de chez moi la queue entre les jambes ?

Sam : Ce que j’ai dit c’est : « Laisse retomber la vapeur comme ça je pourrai faire tourner le casino. » Si le casino se pète la gueule c’est moi qui trinque, c’est pas toi, c’est moi qui trinque !

Nicky : Oh, je sais pas si tu t’en rends compte ou non, mais si tu l’as ton putain de casino, c’est parce que moi je veille sur ta peau. C’est moi qui compte dans le coin. C’est ni tes foutaises de country club, ni ta foutue télévision de merde. D’ailleurs, qu’est ce que tu vas foutre dans tes émissions à la con. Tu sais que j’ai des coups de fil du pays à peu près toute la journée, ils disent que t’es baisé de la tête.

Sam : Je passe uniquement à la télé pour pouvoir rester au casino, tu le sais ça, j’ai aucun besoin de te l’apprendre.

Nicky : T’es une enflure, pour être préposé aux boissons t’avais pas besoin de passer à la télévision. Tu voulais être montré à la télé.

Sam : Oui je voulais passer à la télé, ca me fait un moyen d’expression. Je me bats, je riposte, je me fais des amis. Ils savent qu’ils peuvent pas me baiser la gueule comme si j’étais n’importe qui voilà.

Nicky : Tu prends ton pied avec tes spectacles à la gomme.

Sam : Moi je serais même pas dans cette situation si je t’avais pas connu. T’as braqué tous les flics de l’état contre moi. Chaque fois que je me pointe quelque part on me demande : « Vous connaissez Santoro ? ». Qu’est ce que je peux faire ?

Nicky : Ah ouais c’est ça, ça sera bientôt ma faute si ils ont rejeté ta foutue license.

Sam : Non ! Nicky, quand tu m’as demandé si tu pouvais venir, qu’est ce que je t’ai dit ? Tu es venu me voir, je savais que tu foutais la merde de toutes façons, mais qu’est ce que je t’ai répondu ? Tu te souviens de ce que je t’ai répondu ? Tu te souviens de ce que je t’ai répondu ??

Nicky : Minute, minute ! Une minute putain, une minute ! Je suis allé te voir ? Putain d’enfoiré ! Je suis allé te voir pour te demander si je pouvais venir ? Fous toi bien ça dans la tronche ! Fous toi bien ça dans la tronche enflure de youpin de mes fesses. Si tu existes ici c’est grâce à moi. C’est la seule raison. Si tu m’avais pas, toi, par toi seul, le moindre affranchi à la noix à 500 kilomètres viendrait te la mettre profond dans ton cul de sale juif. Et à qui t’irais te plaindre ? T’es prévenu, ne me tire plus jamais dans les pattes connard ! Espèce de fils de pute !

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