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Archive for the ‘Drame’ Category


Foule : Est ce que ça va ? Appelez une ambulance !

Chauffeur : Bella, je suis vraiment désolé, j’ai paniqué …

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Old Boy – Sortie de la prison de Oh Dae-su. Ca sert.

oct 14, 2010 Author: admin | Filed under: Action, Drame

Voyou : Il t’a laissé entrer toi ? Tu connais le mec qui était à l’entrée ?

Voyou : Eh la pine d’oiseau du veux crever ?

Voyou : Eh laisse le moi !

Oh Dae-su : Pine d’oiseau. C’est la première fois que j’entends ça. On n’apprend pas les insultes à la télé. 15 ans à se battre tout seul, est-ce que ça sert à quelque chose ?
Ca sert.

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Chuckie : Qu’est ce qu’il y a ? Y a un problème ?

Clark : Non non non non il n’y a pas de problème non. J’espérais que tu serais peut-être en mesure de me donner une idée de l’évolution de l’économie de marché dans les colonies du Sud. Moi je soutiens que, préalablement à la guerre révolutionnaire, les modalités économiques particulières, dans les colonies du sud, pouvaient être définies avec justesse par les termes de précapitalisme …

Chuckie : Une minute. J’aimerais dire un truc …

Will : C’est normal que tu soutiennes ça, t’es un étudiant de première année et tu viens de finir le livre d’un petit historien marxiste, Pitt Garrison probablement, et tu resteras convaincu jusqu’à ce que dans un mois tu lises James Lemon, et là tu soutiendras que l’économie en Virginie et en Pennsylvanie était animée d’un esprit d’entreprise tout à fait capitaliste déjà en 1740, et ça durera jusqu’à ce que l’an prochain, tu régurgites Gordon Wood et ses opinions sur la pré-révolution et son utopie, et les effets bénéfiques au capital de toute mobilisation.

Clark : Je ne pense pas que je le ferais parce que Wood a tendance à sous-estimer l’impact…

Will : Wood a tendance à sous-estimer l’impact des distinctions sociales fondées sur la fortune, en particulier la fortune héritée. Tu as lu ça dans Vickers ? Travail dans le comté des sexes, page 98. Ouais, je l’ai lu aussi, tu allais nous régurgiter tous les bouquins. Tu n’as pas une idée personnelle sur le sujet ? Alors c’est ça ton truc, tu arrives dans ce bar, tu débites d’obscurs passages de quelques bouquins et tu prétends que ce sont tes idées à toi ? Et tu fais tout ça juste pour impressionner une fille et embarrasser mon ami ? Ce qui est triste pour un type comme toi, c’est qu’à 50 ans tu vas commencer à penser par toi-même et tu vas découvrir le fait qu’il y a deux certitudes dans ta vie : primo, t’es pas fait pour penser. Et deuxio, tu as paumé 150 000 dollars pour un enseignement que tu aurais trouver pour un dollar cinquante d’amende de retard à la bibliothèque municipale.

Clark : Oui mais moi j’aurais mon diplôme, et tu serviras à mes gosses des frites dans un drive-in quand je les emmènerai skier à la montagne.

Will : Oui peut-être. Mais au moins j’aurai ma personnalité. Mais si ça te pose un problème tout ça, on peut faire quelques pas dehors et régler l’affaire entre nous.

Clark : Non vieux, y a aucun problème. C’est cool.

Will : C’est cool ? Cool.

Billy : Ouais, tu peux le dire que c’est cool.

Chuckie : Ouais c’est ça la ramène plus !

Billy : Il en a dans le cigare, le copain.

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Apocalypse Now : La Chevauchée Des Walkyries

juin 27, 2010 Author: admin | Filed under: Drame, guerre


Junior : Oh merde ! Ils soulèvent notre bateau !
Colonel Kilgore : Comment tu te sens Jimmy ?
Jimmy : Très bien mon colonel un vrai tueur !
Colonel Kilgore : Vas-y fiston sonne la charge ! Je me suis jamais habitué aux planches légères. Il y a rien à faire, j’y arrive pas moi je les aime lourdes.
Jimmy : Ouais je suis d’accord, c’est chiant.
Colonel Kilgore : Et toi tu te sers d’une planche légère ou c’est les lourdes que t’aimes mieux ?
Jimmy : Les lourdes.
Colonel Kilgore : C’est vrai ?
Jimmy : Ah ouais !
Colonel Kilgore : Mais on dit que les jeunes choisissent les moins lourdes.
Jimmy : Ah non elles sont nulles pour le nose riding.
Soldat : Grand Duc 6, Grand Duc 6 ! Aigle en Vol 7 on les a en visuel.
Colonel Kilgore : De Grand Duc 6 à Aigle en Vol 7, formation de combat 4270.
Soldat : Bien reçu Grand Duc. Ca va pas tarder à chauffer.
Colonel Kilgore : Hey !
Jimmy : Qu’est ce qu’il y a ?
Colonel Kilgore : On descend pour s’amener dans le soleil levant. A un kilomètre de l’objectif on balancera la musique.
Jimmy : La musique ?
Colonel Kilgore : Oui moi j’utilise Wagner. Ils en claquent des dents les bridés. Et mes ptits gars adorent ça !
Jimmy : Hey, ils vont mettre de la musique !
Phillips : Hey, pourquoi vous vous asseyez sur votre casque les mecs ?
Soldat : Je tiens à mes couilles moi face d’œuf !
Colonel Kilgore : Aigle en vol de Grand Duc 6, guerre psychologique plein volume, manettes à fond. Roméo fox trot, ouvrez le bal ! C’est parti !

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La Haine – Vincent Cassel (Vince) : Une petite ligne de coke ?

juin 23, 2010 Author: admin | Filed under: Drame

Saïd : Peut-être qu’il a gagné au loto, il l’a dit à personne ! Oh, merde putain c’est fermé !
Hubert : Alors et maintenant c’est quoi son vrai nom ?
Saïd :Je sais pas putain je connais que Astérix comme nom moi…
Hubert : Astérix…
Saïd : Euh, ouai nique sa mère…
Mr Vicq : Oui bonjour ?
Saïd : Euh bonjour, excusez moi de vous déranger, euh, est-ce que je suis bien chez euh, Astérix ?
Mr Vicq : Astérix ? Vous vous foutez de ma gueule ?
Saïd : Ouais je sais, ça peut paraïtre un peu bizarre mais euh… Oh l’enculé il vient de raccrocher ! Vas-y vas-y viens essaye toi. Vas-y essaye, essaye.
Hubert : Vas-y vas-y vas-y.
Saïd : Vas-y essaye, la noiraude et moi on va se faire tirer dessus, vas-y.
Vince : Euh, bonjour, Astérix il est là ?
Dame intephone : Bonjour. Astérix ? Et pourquoi pas Obélix pendant que vous y êtes ?
Vince : Et attend, attend, qu’est ce qu’y a qu’est ce qu’y a qu’est ce qu’y a ?
Saïd : Arrête arrêtes, Vince mais arrêtes !
Vince : L’enculée !
Saïd : Putain t’es vraiment relou !
Concierge : Oh là, arrêtez !
Saïd : Bonjour madame, excusez nous de vous déranger, on cherche un ami à nous qui s’appelle Astérix qui habite ici. On connait pas son nom de famille ni son prénom.
Concierge : Non mais enfin vous êtes fous de sonner comme ça ! Vous croyez que le monde il est à vous ?
Hubert : C’est pas vrai, c’est pas vrai, c’est pas vrai !
Saïd : Vas-y vas-y appelle la police
Vince : Quoi ? C’est toi Astérix ou pas ? Bah vas-y alors ouvre !
Saïd : Astérix ?
Astérix : Saïd ?
Saïd : Ouais, c’est quel étage ?
Astérix : Cinquième.
Saïd : Ok vas-y ouvre ! (Lire la suite…)


Soza : Finissons de déjeuner.

Tony : Je dois vous tirer le chapeau Monsieur Soza. C’est vrai, vous avez tout ce qu’un homme peut rêver.

Soza : Je t’estime Tony. Toi tu es franc du collier. Mais malheureusement, je n’ai pas la même impression avec ton organisation.

Tony : Qu’est ce que vous voulez dire par là Monsieur Soza.

Soza : Et bien je te parle d’Omar Suarez. Ce fumier a été reconnu par mon associé au déjeuner. Il l’avait vu il y a quelques années à New York. Il travaillait pour la police comme indic. Par sa faute, Pito Duval et les frères Ramos, Lino et Chino : prison à vie. Alors qui me dit que tu n’es pas un chivato comme ton ancien ami ?

Tony : Hé, Soza, on va remttre les pendules à l’heure. J’ai jamais baisé un mec une seule fois dans ma vie, sauf si cette cave le méritait bien, tu notes ça ? Sur cette terre, moi je fais confiance qu’en mon manche et ma parole, elle, elle est ferme, l’autre est d’acier. Est-ce que c’est clair ? Cette petite merde qui se balance là haut, moi je l’aime pas, je lui ai jamais fait confiance. Et tout ce que je sais c’est qu’il m’a tendu un piège, qu’il a fait buter Angel Fernandez ce jour là. Mais ça c’est du passé. Je suis ici, lui non. Tu continus avec moi, tu le dis. Si c’est non, tu avances ton pion.

Soza : Je crois que tu me parles du fond du cœur Montana. Mais je me dis en moi-même, ce Lopez, ton patron, il avait plein d’autres chivatos comme lui à son service. Ils ne sont plus ses hommes. Alors justement, je me demande, combien d’autres bavures ce Lopez a faites ? On peut se fier à cette organisation ? A toi de me le dire.

Tony : Franck, c’est un malin. Tu sais, on peut pas lui en vouloir pour cette patate. Parce que c’est un drôle de business faut dire, pas vrai ? Ca, ça arriverait à tout le monde, même à toi, pas vrai ? Alors je vais voir Franck et je lui parle. J’arrange le coup. Je veille à ce que ça marche bien. Tu as ma parole là-dessus.

Soza : Je crois que toi et moi on peut arranger cette histoire, et qu’on fera longtemps des affaires tous les deux. Mais n’oublie pas, et je ne te le dirai pas deux fois : ne m’encule pas Tony. Conseil d’ami, ne m’encule pas.

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Stacey : Dani reste là ! Non Dany !

Bébé : Maman !

Derek : C’est con le nègre, t’es justement tombé sur le mauvais cheval !

Voleur : Arrête !

Derek : Viens là !

Voleur : Non !

Derek : T’aurais dû retenir la leçon que je t’ai donnée sur ce foutu terrain de basket ! Mais vous, pauvres enculés de singes, vous comprenez jamais rien !

Voleur : Arrête !

Derek : Mon père m’avait donné cette bagnole espèce de sale esclave ! T’as déjà buté un pompier ? Alors comme ça on débarque ici pour buter ma famille ? Tu vas comprendre ta douleur espèce d’enculé !

Voleur : Je suis pas venu pour…

Derek : Fous ta bouche sur le bord du trottoir !

Voleur : Pour ça mec !

Derek : Fous la sur le bord du trottoir tout de suite ! C’est ça…

Danny : Derek, non !

Voleur : Je t’en prie, non !

Derek : Maintenant dis bonsoir !

Voleur et Danny: Non !

Derek : Enculé !

Policier : Lâche ton arme, pose ton arme par terre tout de suite ! Les mains en l’air, j’ai dit les mains en l’air ! Maintenant tourne toi ! Mets tes mains derrière la tête ! Maintenant à genoux tout de suite !

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Sam : Un rendez vous au milieu du désert ça m’a toujours rendu nerveux, c’est sinistre. J’suis au courant des trous dans le désert évidemment et partout où je regardais il aurait pu y avoir un trou.
En temps normal mes chances de revenir vivant d’un rendez-vous avec Nicky étaient de 99 sur 100. Mais cette fois quand je l’ai entendu dire « 100 mètres plus loin sur la route », je me suis donné fifty-fifty.

Nicky : Tu te sens plus de bavasser sur moi devant les gens derrière mon dos en passant par dessus ma tête ?

Sam : Quels gens ?

Nicky : Quels gens ? Qu’est ce que tu croyais que je le saurais pas ?

Sam : Je sais même pas de quoi tu parles.

Nicky : Ah non ?

Sam : Non.

Nicky : Tu lâches que je met les chiens à tes trousses. Je dois entendre ces merdes parce que toi tu fais dans ton froc. Toi tu me flanques dehors ? J’espère que t’as une arme derrière toi mon pote.

Sam : Mais j’ai rien fait je vais pas te flanquer dehors je donne pas d’ordre. J’ai dit à Andy que les cognes te collaient au train et que ca posait problème.

Nicky : Tu veux que je me casse de chez moi la queue entre les jambes ?

Sam : Ce que j’ai dit c’est : « Laisse retomber la vapeur comme ça je pourrai faire tourner le casino. » Si le casino se pète la gueule c’est moi qui trinque, c’est pas toi, c’est moi qui trinque !

Nicky : Oh, je sais pas si tu t’en rends compte ou non, mais si tu l’as ton putain de casino, c’est parce que moi je veille sur ta peau. C’est moi qui compte dans le coin. C’est ni tes foutaises de country club, ni ta foutue télévision de merde. D’ailleurs, qu’est ce que tu vas foutre dans tes émissions à la con. Tu sais que j’ai des coups de fil du pays à peu près toute la journée, ils disent que t’es baisé de la tête.

Sam : Je passe uniquement à la télé pour pouvoir rester au casino, tu le sais ça, j’ai aucun besoin de te l’apprendre.

Nicky : T’es une enflure, pour être préposé aux boissons t’avais pas besoin de passer à la télévision. Tu voulais être montré à la télé.

Sam : Oui je voulais passer à la télé, ca me fait un moyen d’expression. Je me bats, je riposte, je me fais des amis. Ils savent qu’ils peuvent pas me baiser la gueule comme si j’étais n’importe qui voilà.

Nicky : Tu prends ton pied avec tes spectacles à la gomme.

Sam : Moi je serais même pas dans cette situation si je t’avais pas connu. T’as braqué tous les flics de l’état contre moi. Chaque fois que je me pointe quelque part on me demande : « Vous connaissez Santoro ? ». Qu’est ce que je peux faire ?

Nicky : Ah ouais c’est ça, ça sera bientôt ma faute si ils ont rejeté ta foutue license.

Sam : Non ! Nicky, quand tu m’as demandé si tu pouvais venir, qu’est ce que je t’ai dit ? Tu es venu me voir, je savais que tu foutais la merde de toutes façons, mais qu’est ce que je t’ai répondu ? Tu te souviens de ce que je t’ai répondu ? Tu te souviens de ce que je t’ai répondu ??

Nicky : Minute, minute ! Une minute putain, une minute ! Je suis allé te voir ? Putain d’enfoiré ! Je suis allé te voir pour te demander si je pouvais venir ? Fous toi bien ça dans la tronche ! Fous toi bien ça dans la tronche enflure de youpin de mes fesses. Si tu existes ici c’est grâce à moi. C’est la seule raison. Si tu m’avais pas, toi, par toi seul, le moindre affranchi à la noix à 500 kilomètres viendrait te la mettre profond dans ton cul de sale juif. Et à qui t’irais te plaindre ? T’es prévenu, ne me tire plus jamais dans les pattes connard ! Espèce de fils de pute !

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Blow – Johnny Depp (George Jung) : plus de place.

juin 14, 2010 Author: admin | Filed under: Drame


OFF – George : Nous avions créé le marché. En fait, si vous avez sniffé de la coke fin des années 70 ou début des années 80, il y a 85% de chances que ça soit la notre…
George : Ca fait trois millions, j’ai compté deux fois.
Diego : Deux millions cinq, deux millions cinq, j’en suis sûr.
George : Je te dis trois.
Diego : Cinq cent mille de différence ?
George : Ouai.
Diego : Ouai…
George : Je recompte plus, j’en ai marre.
Diego : Pèse les.
George : Hein ?
Diego : Si il y a trente kilos, ça fait trois millions, si il y a vingt cinq, ça fait deux et demi.
George : Moi j’en ai ma claque, on s’en fout. Où je le pose ?
Diego : Euh… Ah essaye dans la chambre.
George : C’est plein.
Diego : Merde… Bah dans les toilettes !
George : Il nous faut plus de place.

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Angela : Viens, je t’attendais… Quelque chose me dit que tu t’es musclé. Moi je le vois. Je t’attendais pour que tu me donnes un bain. Je suis sale une vraie petite cochonne.

Carolyn : Qu’est ce que tu fais ?

Lester : Rien.

Carolyn : Tu te masturbais !

Lester : Mais non.

Carolyn : Je te dis que si !

Lester : Oh et puis merde vas-y tue moi je m’astiquais le manche. Oui, j’étais en train de me tapper une couenne, de me faire mousser le créateur, d’accord ? De faire guili-guili à monsieur Popol.

Carolyn : Oh, tu es dégoutant !

Lester : Désolé, mais certains d’entre nous bénéficient encore d’une libido en état de marche.

Carolyn : Moi aussi.

Lester : Ah oui ? Visiblement il n’y a que moi qui éprouve le besoin d’y remédier.

Carolyn : Ha ! Ha ! Lester je refuse d’endurer ce calvaire. Ce n’est pas un mariage !

Lester : Tu t’es accommodé de ce mariage durant des années parce que t’étais parfaitement heureuse tant que je me la bouclais. Et bien je vais te dire, il se trouve que j’ai changé et ton nouveau mari se branle un coup quand il a envie de baiser vu que tu m’as fait comprendre qu’il ne fallait pas compter sur toi dans ce domaine.

Carolyn : Oh je vois ! Et tu crois que tu es le seul à être frustré sexuellement peut-être ?

Lester : C’est pas le cas ? Et ben qu’est ce que t’attends ? Moi je suis prêt profites-en !

Carolyn : Ne t’avise pas de poser la main sur moi mon vieux, sinon je demande le divorce tellement vite que t’auras même pas le temps de tourner la tête !

Lester : Et pour quel motif ? Je ne suis pas alcoolique, je n’ai pas baisé d’autres femmes, je te maltraite pas, je t’ai pas tapé dessus, je n’essaie même plus de te toucher depuis que tu m’as clairement fait sentir à quel point j’étais inutile pour pas dire encombrant. Mais je t’ai entretenue pendant que tu faisais tes études, et certaines personnes pourraient en conclure que ca me donne droit à la moitié de tes revenus. Sur ce, n’oublie pas d’éteindre avant de te coucher. Bonsoir !