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Thérèse : Joyeux Noêl…Enfin…Si je puis m’exprimer ainsi…
Katia : Comment vous appellez-vous ?
Thérèse : Je m’appelle Thérèse.
Katia: Je t’encule Thérèse, je te prends, je te retourne contre le mur, je te baise par tous les trous, je te DEFOOOOOOONCE, JE TE METS THERESE, JE TE METS…
Pierre : Ça… Ça ne nous intéresse pas ! Arrêtez ça ! Arrêtez ça…Je… Ca ne nous intéresse pas, ça ne nous intéresse plus !
Katia : Je parle pas aux pédés, repasse moi la gouine !
Pierre : Ca ne nous interesse pas, Arrêtez ça…
Denis : Ca serait dommage que vous mangiez les bénéfices en pénalités de retard.
Dov : Ecoutez monsieur Vierhouten, nous savons travailler vite et bien. C’est le secret de notre réussite, ça.
Eddie : Qu’est-ce qu’y fout !?
Yvan : Putain, il va tout faire foirer j’le crois pas !
Denis, Un problème ?
Dov : Non, non pas du tout, j’étais juste en train de vér…
Serge : C’est quoi ce bordel ? Ou tu es enculé ? Qué, Abdéramane ! Ah, tu es là, enculé !
Ahhh, tu as voulu me fourrer, hein !? Tu as voulu fourrer Massoud…Massoud qui t’as amené la réussite sur un plateau. Et toi tu essayes de me la mettre, à moi !? Je vais t’apprendre ce que c’est que d’enculer un ouzbek !
Dov : Ecoutez Monsieur Massoud, ces messieurs sont venus de France pour passer une grosse commande, ok ?
Serge : C’est quoi ça ? Donne ça toi ! Qu’est-ce que c’est que ça ? Ca, c’est mon modèle ça !
Denis : Attendez, attendez, heu, j’comprends pas très bien là.
Dov : Y’a aucun problème, monsieur Massoud est un client à moi, il a en effet commandé ce, ce..modèle pour le marché russe, mais rien n’a été signé.
Serge : Comment ça, rien n’a été signé ? Ca fait 5 ans qu’on travaille ensemble, cinq ans, tu entends, Abdéramane ?
Serge : Qui êtes-vous monsieur ?
Denis : Denis Vierhouten, directeur des achats d’Euro Discount, deuxième groupe d’hypermarché en Europe !
Serge : Connais pas…Bon !Puisque c’est comme ça, je vais prendre l’exclusivité, hein, c’est ce que tu voulais Abdéramane, hein ? Parce que toi t’y es un malin !
Denis : Un instant ! Je ne sais pas qui vous êtes, mais j’peux vous dire qu’vous êtes loin du compte. Je viens de commander trente mille tailleurs fermes !
Trente mille ? Pfieuh… Ah moi je prends pas trente mille, ni quarante mille d’ailleurs. Je PRENDS…TROIS CENTS MILLE !
Eddie : Oh c’est pas vrai…
Assistant : Ouh, mais j’ai l’impression qu’on se moque de nous là !
Patrick : Attendez, visiblement, ce monsieur est un grand farceur.
Serge : Pas du tout, je prends trois cents mille ! Ougnassia, c’est trois cents mille. Et tu me dois l’exclusivité Abdéramane ! Allez, donnez moi les contrats que je les signe.
Assistant : Bon moi j’crois qu’on a plus rien à faire ici…
Non, mais on nage dans le n’importe quoi !
Denis : Calmez-vous.
Patrick : Qu’est-ce qu’y te prends, t’es ouf ou quoi ? On avait dit cinquante mille.
Serge : Bon on va pas y passer la nuit, hein ! Donnez-moi les bons de commandes là !
Patrick : Mais arrête putain, tu vas tout faire foirer ! Bon sang, j’avais dit à Eddy de pas t’ prendre !
Serge : Allez !
Denis : Trois cent cinquante mille !
Assistant : Mais monsieur Vierhouten…
C’est l’affaire du siècle ! On en vend la moitié à nos filières Belges et allemandes. Ils vont sauter dessus, mêmes à quarante dollars, on est trente pour-cents au dessous de leurs tarifs !
Assistant : Non, mais ce type est fouuuu…
Denis : Il est pas fou, il est ouzbek !
TROIS CENTS..QUATRE-VINGT MILLE ! C’est qui ceux là, ils vont faire la loi ici maintenant !?
Patrick : J’vais te tuer ! La vie de ma mère, tu m’entends j’ te tue enculé !
Serge : Ta gueule ! Trois cent quatre vingt mille, ca y est, Yalla, j’ai…et c’est fini, donnez-moi le stylo ! Faut que je signe.
Denis : Quel prix pour quatre cent mille ?
assistant : Fiouuuuuuuu…….
Dov : …Vingt-huit !
Denis : Vingt-sept !?
Dov : Vingt-sept, c’est bon, affaire conclue !
Serge : Codié, batiéska ! Rhaak pifieuuu ! Oh dié dé miass Euro Discount…
Dov : Si vous voulez bien me suivre, on va changer les contrats.
Eddie : Pas la porte, non, non pas la porte !
Arnaud : Alors ? Ca négocie ferme ? On a libéré l’otage ?
Frère de Marie-Odile : Nous on libère rien du tout. Par contre toi, tu peux libérer ton porte feuille.
Arnaud : Hey hey ! Surprise ! Ahhhh. Allez messieurs, on lève les mains.
Axel : Ah…On fait moins les mariolles là, hein !? Hein !?
Arnaud : Bouge pas, toi ! Ceci est un Magnum. Le flingue le plus PUISSANT du monde ! Si je te touche avec ça, j’ repeins le parking. Boooon…Et ba vu les dommages occasionnés, on va passer à la réparation du préjudice. Alors vous videz vos poches ! Et vous balancez les portefeuilles ! ALLEZ ! ALLEZ ! Qu’est ce que tu fous là ?
Johan : Ba … j’récupère ma carte de téléphone. Elle est presque neuve.
Arnaud : On s’en bas les couilles de ta carte, là ! Récupère les affaires à mes pieds. J’peux pas être là et là ! Maintenant, on baisse son pantalon et le caleçon sur les chevilles. Hein ? ALLEZ !
Frère de Marie-Odile : J’te retrouve, j’te tue.
Arnaud : Ah ouaip. Voilà le programme, vous allez tous vous mettre à genoux. Allez à genoux ! Voilà… Et maintenant vous faites la truie. Hein. La truie. Hein ? C’est bon ça la truie. Allez ! Allez !
Les autres : Rhuiii! rhuihuiiiiii!
Arnaud : Plus fort, j’t’entends pas bien là !
Les autres : Rhuiii! rhuihuiiiiii!
Axel : Allez vas-y là, pense à ta sœur là, connard !
Arnaud : Mieux que ça là ! Gavage !
Johan : Oh le con ! Oh le con, il a tiré !
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Montagnard : Et Voilà !
Tous : Haaaaaa !
Jérôme : Dididîtes moi. Comment vous faites pour faire passer le..hummm…le crapaud…hum, à l’intérieur de la bouteille ?
Montagnard : Ahhh, alors ça on le fait sécher, et pis alors il devient tout fin. Alors il rentre. Et puis après avec l’humidité, il gonfle.
Jérome : Ah oui…
Bernard : Pas trop hein.
Montagnard : Voilà.
Gilbert : Merci.
Montagnard avec bonnet : Alors çà, faut le boire d’un cul sec, autrement ça vous brûle la langue. Ahhhhhh !
Montagnard : Ahh, bouhh, que ca fait du bien. Allez à vous maintenant.
Popeye : Ben…A la vôtre hein, c’est…
Bernard : Santé…rhumm…
Jérôme : Merci hein…
Jean-Claude : Puis bonne chance surtout…
Popeye : Ah le bouchon a sauté.
Popeye : Santé !
Bernard : Rhaa…Rhaaaaa…RHAAAAAA…
Jérôme : Rhaaaa, C’est fort !
Bernard : Haaaaaaaaa ! Rhaaaa…Kooof kof kof…
(moults étouffements et râles d’agonie des protagonistes)
Jérôme : Ca déboucherait un chiotte ça…
Montagnard : C’est pas une boisson de mauviettes ça !
Popeye : Qu’est-ce que c’est qu’cette merde !?
Montagnard : Bhé, c’est relevé au jus d’ail. Passe que, l’échalotte tout seul, ça serait trop fade
Bernard :Kooof..rheeeuh…C’est bien fruité…
Gilbert : C’est bien goùtu, hein ! Ça a du retour !
Jérome : Rheuuu…
Gigi : Rhaaaa…
Bernard : Ahhh, la vache !
Erik : Attends ! Moi aussi, j’veux un souvenir ! (ouvre la sacoche avec la main porte-bonheur) WHOAAAAAAAA ! WHAAAAAAAA! C’est de toute beauté !
La grosse femme moche qui se goinfre de chips : SCRONCHSCRONCH…
Claudy : Dis ! On t’as jamais appris à manger avec la bouche fermée toi ? C’est à toi que je cause hein ! J’ai l’impression d’être à coté d’un camion de poubelle qui travaille, moi ici ! Connasse va ! C’est excessivement énervant d’entendre quelqu’un qui mange des chip pour celui qui n’en mange pas ! Compris ? (hurle) Education minimum !
J’vais taper ça à l’abattoir, ca va être vite fait hein !
Pierre : M. Pignon ? Si je vous dis précisément ce qu’il faut lui dire ? Vous pensez que vous pouvez le faire ?
François : Y’a des moments, j’ai vraiment l’impression, que vous me prenez pour un imbécile… (blanc) Mais bien sûr que je peux le faire ! Qu’est-ce que je dois dire ?
Pierre : On pourrait se servir du bouquin qu’ils ont écrit.
François : Oui.
Pierre : Vous apellez Leblanc, et vous dites que vous êtes producteur de films. Vous avez lu le roman et vous voulez acheter les droits pour le cinéma.
François : Ah ouiiii ! C’est bien ça !
Pierre : Et en fin de conversation, vous lui demandez où vous pouvez joindre sa collaboratrice.
François : Quelle collaboratrice ?
Pierre : Ma femme ! Je vous ai dit qu’il avait écrit un bouquin avec elle !
François : Mais oui exact, ok d’accord… Excusez-moi.
Pierre : Non, ça marchera jamais.
François : Mais siii ! J’ai compris, c’est pas simple, mais j’ai compris !
Pierre : Mais quoi c’est pas simple ? C’est tout simple ! Vous êtes producteur, ok !?
François : Ok, ok.
Pierre : Vous avez une maison de production à Paris ! Non pas à Paris, il connait tout le monde. Vous êtes un producteur étranger…
François : O … Américain…Allemand…?
Pierre : BELGE. Voilà c’est parfait ça, belge.
François : Pourquoi belge ?
Pierre : Parce que c’est très bien belge ! Vous êtes un gros producteur belge, vous avez lu « le petit cheval de manège », c’est le titre du roman et vous voulez lui acheter les droits pour le cinéma, ok ?
François : C’est un bon livre ?
Pierre : Très mauvais, quelle importance ?
François : Ca m’embête un peu ça…
Pierre : Pourquoi ?
François : Si le bouquin est mauvais, pourquoi j’irai acheter les droits ? Haaaaaaa !
Pierre : Monsieur Pignon ?
François : Ouiii ?
Pierre : Vous n’êtes pas producteur?
François : Non !
Pierre : Vous n’êtes pas belge, non plus ?
François : Ah non !
Pierre : Ce n’est donc pas pour acheter les droits du livre que vous téléphonez, mais pour essayer de savoir où est ma femme !
François : Ouuuuuuuuh….Alors ça ! C’est très tordu mais bougrement intelligent ! C’est quoi son numéro ?
Pierre : 01 47 4…Je vais le faire moi-même. Il s’appelle Juste Leblanc.
François: Ah bon, il a pas de prénom ?
Pierre : Je viens de vous le dire : Juste Leblanc.
François : Hein ?
Pierre : Leblanc c’est son nom, et c’est Juste son prénom.
François : euh…
Pierre : Monsieur Pignon, votre prénom, à vous, c’est François, c’est juste ?
François : Oui…
Pierre : Eh ben lui c’est pareil, c’est Juste.
François: …
Pierre : Bon… On a assez perdu de temps comme ça. Ma femme a signé le roman de son nom de jeune fille : Christine Leguirec.
François : Ah bon ? Elle est bretonne ?
Pierre : Je vous en pris ! Restez concentré !
François : Excusez-moi…
Pierre : Et vous n’oubliez pas en fin de conversation, vous lui demandez où vous pouvez joindre Christine Leguirec. Ca sonne, je vous mets sur haut-parleur.
François : Je prends l’accent belge ?
Pierre : NON !
François : Alloooo ?(accent belge) Pourrais-je parler à monsieur Leblanc, juste une fois.
Juste : C’est moi.
François : Bonsoir monsieur Leblanc, Georges Van Bruggel à l’appareil, pardon de vous déranger à une heure aussi tardive, je suis producteur belge,n’est-ce pas, j’arrive de Belgique une fois, et je suis très intéressé par votre roman (chuchotant à Pierre) Votre roman ?
Pierre : « Le petit cheval de manège »…(chuchote)
François : « Le petit cheval de manège » (chuchote). Et j’aimerais discuter l’achat des droits, pour le cinéma.
…..
Walter : Excuse moi Smokey, t’as mordu la ligne : y a faute.
Smokey : Mon cul, tu me mets huit Duc…
Walter : Je te demande pardon , mets lui zéro, jeu suivant.
Smokey : Tu fais chier Walter, tu me mets huit Duc…
Walter : Smokey on est pas au Vietnam, on est au bowling, on joue selon les règles…
Le Duc : Allez, déconne pas Walter, on est là merde : Son pied a légèrement mordu, il a un peu glissé… C’est qu’un sport, là !
Walter : Oui. Et il est homologué, c’est une partie qui compte pour le tournoi j’ai pas raison ?
Smokey : Oué, mais j’ai pas…
Walter : J’ai pas raison ?
Smokey : Oué, mais j’ai pas mordu… Allez ! Vas-y Duc, mets moi un huit.
Walter : Smokey mon ami, si t’as jamais souffert, tu vas comprendre…
Le Duc : Walter, fais pas le con !
Walter : Vas-y, mets-toi un huit et tu vas comprendre !
Smokey : J’ai pas m…
Walter : Tu vas comprendre ta douleur Smokey !
Smokey : Duc ? C’est ton partenaire…
Walter : Le monde est en train de DEVENIR CINGLE ! Y A PERSONNE ICI A PART MOI QUI SE SOUCIE ENCORE DE RESPECTER LES REGLES ? METS TOI ZERO ! (hurle…)
Le Duc : Ils sont en train d’appeler les flics Walter remets ça dans…
Walter : METS TOI ZERO ! (hurle…)
Le Duc : Range ca Walter…
Smokey : …
Le Duc : Walter…
Walter : TU CROIS PEUT-ETRE QUE JE PLAISANTE ? METS TOI ZERO ! (hurle…)
Smokey : Voila, je me suis mis zéro… T’es content ? Espèce de malade ?
Walter : C’est un sport homologué.(calme)